Le bourdon
Non, Lillie n'a pas le bourdon... Du moins, pas au sens poétique du terme.
Quand Lillie a le bourdon, prenez le plutôt au sens propre.
Explications :
Le premier week-end dans la capitale, Lillie l'a passé seule et abandonnée de tous (ça c'est pour la note dramatique...). Il fallait bien qu'elle s'occupe. Visites de musées, shoppings, longues marches le long de la Seine... Mais surtout, (et seulement) de la bronzette au soleil dans un parc. Oui, bronzette. A Paris. Si si, c'est possible. faut juste être patient et muni d'une petite veste durant le passage de gros nuages, vite s'en débarrasser quand le soleil réapparaît et jongler comme ça toute la journée (ça s'en va et ça revient, gna gna...). De ce fait, Lillie a pris des coups de soleil. C'est pas tous les jours qu'une sudiste rougit des épaules, faut le dire!!
Mais revenons à not' bourdon.
Lillie est tombée (encore une fois) amoureuse d'un pantalon léger, très très large de chez promod. Appelé par ses "Colloc" Pantalon de troubadour, parce que difforme, trop long, bariolé, bref, super original.
Rien de plus confortable pour aller flâner au parc. Il suffit de le relever très haut, et basta. Pour gagner sa place au soleil, Lillie doit traverser une large étendue de pelouse, où poussent éparses fleurs, trèfles à trois feuilles (faut pas abuser nan plus!), et bourdons.
Oui, parce que du bourdon, il en traîne sur à peu près toutes les fleurs. Alors Lillie, soudain frileuse, marche lentement en prenant bien soin de ne pas en acreser un, sous peine de s'attirer la fureur des autres.
Elle atteint la bute, s'installe, relève son futal, et roupille au soleil tranquilou. Quelques heures de farniente après, elle décide de rentrer et laisse son pantalon glisser le long de ses jambes.
Deux enjambées... Une étrange sensation derrière la cuisse. Lillie secoue la jambe sans s'arrêter de marcher.
Un chatouillis bizarre. Lillie veut se gratter, puis sent comme une agitation sur l'épiderme. Délicatement, elle secoue le tissu léger du pantalon.
Bzzzzzzzzz !!!!!!!
Rhooo meeeerde !!!!
Lillie tire sur l'élastique. Il est là, posé sur le tissu, à l'INTERIEUR !!
Douuuuucement, douuuucement. Manquerait plus qu'i pique!! Elle veut le guider vers le bas, tapote légèrement.
ERREUR!! Il s'énerve, bourdonne fort tout dard dehors.
Merdeuuuu!!!
Voilà Lillie à 16h30, sur une pelouse chargée de Parisiens au repos, qui baisse précipitamment son froc, en grognant. Elle secoue son popotin, remue des pieds pour faire fuir le bourdon, qui au final, n'aura pas piquer. Mais le ridicule tue à Paris.
Surtout avec un culotte Fée Clochette!!
(Oui, fée Clochette! C'est son côté femme-enfant...)
Quand Lillie a le bourdon, prenez le plutôt au sens propre.
Explications :
Le premier week-end dans la capitale, Lillie l'a passé seule et abandonnée de tous (ça c'est pour la note dramatique...). Il fallait bien qu'elle s'occupe. Visites de musées, shoppings, longues marches le long de la Seine... Mais surtout, (et seulement) de la bronzette au soleil dans un parc. Oui, bronzette. A Paris. Si si, c'est possible. faut juste être patient et muni d'une petite veste durant le passage de gros nuages, vite s'en débarrasser quand le soleil réapparaît et jongler comme ça toute la journée (ça s'en va et ça revient, gna gna...). De ce fait, Lillie a pris des coups de soleil. C'est pas tous les jours qu'une sudiste rougit des épaules, faut le dire!!
Mais revenons à not' bourdon.
Lillie est tombée (encore une fois) amoureuse d'un pantalon léger, très très large de chez promod. Appelé par ses "Colloc" Pantalon de troubadour, parce que difforme, trop long, bariolé, bref, super original.
Rien de plus confortable pour aller flâner au parc. Il suffit de le relever très haut, et basta. Pour gagner sa place au soleil, Lillie doit traverser une large étendue de pelouse, où poussent éparses fleurs, trèfles à trois feuilles (faut pas abuser nan plus!), et bourdons.
Oui, parce que du bourdon, il en traîne sur à peu près toutes les fleurs. Alors Lillie, soudain frileuse, marche lentement en prenant bien soin de ne pas en acreser un, sous peine de s'attirer la fureur des autres.
Elle atteint la bute, s'installe, relève son futal, et roupille au soleil tranquilou. Quelques heures de farniente après, elle décide de rentrer et laisse son pantalon glisser le long de ses jambes.
Deux enjambées... Une étrange sensation derrière la cuisse. Lillie secoue la jambe sans s'arrêter de marcher.
Un chatouillis bizarre. Lillie veut se gratter, puis sent comme une agitation sur l'épiderme. Délicatement, elle secoue le tissu léger du pantalon.
Bzzzzzzzzz !!!!!!!
Rhooo meeeerde !!!!
Lillie tire sur l'élastique. Il est là, posé sur le tissu, à l'INTERIEUR !!
Douuuuucement, douuuucement. Manquerait plus qu'i pique!! Elle veut le guider vers le bas, tapote légèrement.
ERREUR!! Il s'énerve, bourdonne fort tout dard dehors.
Merdeuuuu!!!
Voilà Lillie à 16h30, sur une pelouse chargée de Parisiens au repos, qui baisse précipitamment son froc, en grognant. Elle secoue son popotin, remue des pieds pour faire fuir le bourdon, qui au final, n'aura pas piquer. Mais le ridicule tue à Paris.
Surtout avec un culotte Fée Clochette!!
(Oui, fée Clochette! C'est son côté femme-enfant...)